
Sous les yeux clairs
D’un peuple noir
Persiste un grand mal
Un mal notoire
Qui fait mal aux uns,
Qui fait bien aux autres
Un mal furtif
A partir duquel voit le jour
La barbarie extrêmement sombre
D’un peuple intellectuel
La terre tourne
L’homme ne s’en rend pas compte
Mais sa raison tourne
Tantôt en bien
Tantôt en mal
Un mal
Qui rend maladroit
Celui qui est bien élevé
Un mal pervers
Qui souille
Tant bien que mal
La réputation du bien-être
Ce mal s’incarne
Dans chaque neurone du cerveau
Et le concatène
Au fin fond d’un infini limité
Le monde
Est mal en point,
Une génération mal au cœur,
Des hommes d’esprit malavisés
Qui maltraitent un pays macabre
Ce mal suscite
La malnutrition
Chez des pays riches
Ce mal est en moi,
En lui, en vous
Et ce mal
Nous donne rendez-vous
Dans une lointaine contrée
Là où corps et âme
L’on s’enflamme
Allandy, l’érudit du temps
Très jolie poésie! Ce mal on le ressent comme un mal d’être!
Merci d’avoir visité mon blog
Amitiés
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Je vous en prie.. C’est le moins que je puisse faire. Merci à vous !
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