" La paysanne "
Tu es ma paysanne
À la peau tendre;
Tu as la main verte
Mais me fais voir la vie en rose
Comme tu es sublime,
Petite paysanne !
Tu as fleuri mon cœur,
Savoure donc le fruit
De mes sentiments
Tu vis à la campagne
Comme bon nombre
De gens mais tu es unique
En ton genre
Je t’ai vue un jour,
Depuis lors,
Je ne puis m’empêcher
De penser à toi
Tous les jours
Tu vis dorénavant
Dans ma tête
Et chacun de mes neurones
Est sous ton emprise
Tu fais cascader
Le torrent de mes passions
Dans le canal de ton amour
À chacun de tes pas
Quelle envie
N’as-tu pas encore
Agréée par le simple fait
Que tu as souri ?
J’ai soif de toi,
Petite paysanne,
Permets-moi de t’aimer
Jusque dans ton âme
J’ai envie de mouiller
Mes caresses
Dans l’eau ardente
Qui coule sur ton corps
La chaleur ne tue pas,
Elle fait naitre des envies
Là où l’amour fait sa demeure,
À jamais je t’aimerai
Allandy, l’érudit du temps